Evadé du camp de consenctration de Bucor (Grenade), Andrés Perez s’était aussitôt ontégré au groupe des frères Francisco, Julian et Diego Moreno Barragan Los Morenos de Cortes, eux-mêmes évadés du même camp.
Le 21 juin 1940, avec Francisco et Diego Moreno Barragan, Juan Ruiz del Rio Niño Bermejo, Palomo el de Casareset avec la complicité des frères Domingo et José Marquez Vega Pepe el de la Sopa, il participait à la ferme Atalaya, commune de Jerez de la Frontera, à l’attaque de la feme de Pedro Bohorquez Vecina où les guérilleros s’emparaient de 25.000 pesetas, de pistolets, revolvers, cartouchières, trois montres, des vêtements et de la nourrutire. Deux jours plus tard le même groupe attaquait sur la commune d’Algar la fabrique de farine de Juan Ramon de la Calle y de Reinoso où les guérilleros s’emparaient d’une grande quantité de pain.
Le 12 octobre 1940, sur la commune de Jimena de la Frontera, il participait avec les trois frères Moreno Baragan, El Vinagre, Diego Vazquez Duran El Porque, Manuel Uceda Lucas Gordillo, Juan Ruiz del Rio et José Guerra Galvan El Guerra, à la tentative d’enlèvement d’Antonio Toledo Sevillano le propriétaire de la ferme Venta Guadario. L’enlèvement au cours duquel furent blessés les carabiniers Manuel Hermida Pardo et José Fernandez Bazan, échoua.
Andrés Perez a été tué en 1944 à El Peñon de Ronda par la Guardia Civil du poste de Ronda (Malaga)