Juan Silveira Correr était en 1930 le vice président de la Société des charbonniers de Vigo adhérente à l’UGT. C’est lui qui amena cette société à adhérer à la CNT ce qui fut fait lors du congrès de Saragose en mai 1936.
Militant des Jeunesses libertaires (FIJL), il avait été également l’un des organisateurs en 1930 de l’Association culturelle La Victoria de Beade (Vigo) qui devint ensuite association Antorcha del porvenir. Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, il participa aux barricades puis gagna la Sierra.
Au début des années 1940 il était le trésorier du comité CNT de Vigo, poste qu’il assuma jusqu’aux rafles de 1947 auxquelles il parvint à échapper. Il gagna alors Madrid puis passa en France.
Il émigra par la suite au Brésil, à Porto Alegre où il est décédé à une date inconnue.