Propriétaire d’une petite barque de pêche, José Santos Lopez avait adhéré à la CNT lors de la proclamation de la République. Il fut ensuite le secrétaire du syndicat CNT des petites embarcations de Ponto-Naron et membre de la Ligue rationaliste.
Dans les années d’après guerre il travailla dans la construction navale. En 1946 il fut arrêté et molesté au Ferrol lors du mouvement appelé « grève de l’huile ». Militant de la CNt de Jubia, il fut arrêté en mars 1947, traduit l’année suivante devant un conseil de guerre tenu à Vigo le 1er juin et condamné à trois ans de prison.