José Maria Pérez Piquero, fils d’Amador et de Basilica Piquero, militait à la CNT d’Aramil. Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, il avait participé à l’attaque des casernes de Gijon, puis avait été milicien au Bataillon Victordont il sera nommé capitaine après la militarisation. Il fut ensuite le comandant du Bataillon Tino.
José Maria Pérez Piquero a sans doute été fait prisonnier après la chute du front nord, puisqu’un rapport de la Guardia Civil du 16 janvier 1939 signaliat « qu’il s’était évadé d’un camp de concentration aux Asturies » et faisait « partie des groupes de fugitifs dans les montagnes ». Traduit devant un coneil de guerre tenu à Gijon le 28 janvier 1939, il fut déclaré « en rébellion ».